Petit Break[Réservé]

Zo s'était réveillé de très bonne heure ce matin là et malgré la fatigue, elle s'était levé et était partit faire son jogging matinale a Central Park. Bien sûr, elle sentait encore les effets de la nuit précédente. Elle avait bu un peu plus qu'à son habitude et veillé un peu plus tard que la limite du résonnable lui dictait, mais bon elle n'aurait voulut manquer cette soirée pour rien au monde. Elle avait réussit à faire quelques marché et comme elle avait besoin d'argent et qu'elle n'avait pas été élèvé dan sune famille où le moyen de faire de l'argent est important, elle en avait profité.

Mais après un effort surhumain pour faire son jogging et s'être levé de si bon matin malgré le mal de bloc qu'elle avait elle se dit qu'elle méritait bien un bon café noir. Rien de mieux pour lui remonter le moral de un et de deux lui donner l'énergie d'aller régler quelques affaires urgentes. Puis sans même qu'elle s'en soit rendu compte , elle serait obligé d'aller travailler. Elle ralerait parce que la journée avait passé trop vite et qu'elle n'aurait pas eu le temps de faire tout ce qu'elle avait à faire, mais pour le moment elle s'accordait un petit break question de prendre son souffle avant de se tirer tête première dans une autre journée qui irait à cent miles à l'heure. Elle prit donc son café et alla s'asseoir près d'une fenêtre et laissa le soleil la réchauffer.

Zo leva les yeux en riant pour voir qui entrait en jurant. Elle le suivit du regard pendant un moment. Elle était curieuse de nature. Ce qui était sa plus grande qualité et son plus grand défaut à la fois. Elle trouvait assez drole qu'il supporte sans broncher les regard noir des autres consommateurs. Elle l'observait feuilleter son journal...Non pas feuilleter! Il avait plutot l'air pressé donc il ne prenderait probablement pas le temps de feuilleter tout le journal.

Elle se pencha ouvrit son sac à dos et en sortit son ordinateur portable. Elle avait sa façon à elle de lire le journal. Beaucoup plus rapide et en plus elle pouvait consulter ses dossier en même temps. Bon, bien sûr, elle avait ce petit "travail" quotidien qu'elle adorait, mais son rêve était d'ouvrir un petit bar ou si possible une boite de nuit. C'est pour ça qu'elle se fendait en quatre pour ramasser de l'argent avec au moins un travail légal et faire s'époumoner pour finir son bac en administration par les soirs et en ligne.

Elle ouvrit une fenêtre internet et tapa l'Adresse du New-York Times. Puis ouvrit un de ses nombreux dossiers, mais elle ne put s'empêcher de jeter un dernier regard à l'homme qui était entrer plutot en jurant. Elle vit alorsd qu'il l'observait aussi. Il était plutot mignon pas son genre, mais beau gosse quand même.

Zo prit une gorgée de café et se remit au travail. Elle devait remettre se foutu projet pour demain et elle n'arrivait pas à écrire sa foutu conclusion sans tout recommencer deux minutes plus tard parce que ce qu'elle avait écrit n'était pas à son goût. Elle lacha un juron en jetant un regard meutrier à son texte. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle aurait une mauvaise note en cause de cette fichu conclusion qui n'arrivait pas à sortir. Elle prit une nouvelle gorgée de café, mais elle vit que sa tasse était vide et comme elle ne réussirait pas à finir son travil sans une bonne dose industirel de cafeine, elle alla se chercher un autre café et retourna à son texte.

Au bout d'un moment à essayer en vain de finir son texte, elle soupira à s'en fendre l'âme. Rien de plus normal! Ce que les professeur d'université en administration ne semblait pas comprendre c'Est que la théorie et la pratique son deux chose completement différente. Ils devraient sortir de leur bureau des fois temps en temps pour voir comment ça se passe à l'extérieur de leur campus et de leur cher livre. En tout cas, elle décida que s'était assez pour ce matin. Elle devait encore aller rendre visite à ses parents. Machinalement, elle pora une main sur les plaques d'identification d'armée qu'elle portait au cou. C'était celle de son père! Et elle avait encores quelques affaires à traiter avant d'aller prendre son service au Night Box. Elle ramassa ses affaires et finit son café.

Elle se leva avec l'intention de partir sur le champs mais s'arrêta à mi-chemin de la porte. Elle se retourna vers le jeune homme qu'elle avait observé auparavant et s'approcha en souriant.

Le jeune homme finit par poser son regard sur elle une nouvelle fois tandis qu'elle s'approchait. Il la regardait comme si elle était un fantôme. Pourtant, ne pouvait-elle pas paraitre plus réelle que ce matin. Pour une fois elle ne longeait pas les murs question de ne pas se faire remarquer.

"Vous voulez vous assoir?"

La question la surprit. Rare était les gens ou du moins les hommes qui s'interessait à elle avec de bonnes intentions. En fait, elle faisait très peu confiance à la gente masculine de ce monde. Il n'y avait seulement un homme qui avait réussit à percerr ses défenses et il l'avait payé cher. Et oui, le policier de son coeur! En fait, il ignorait qu'elle le portait dans son coeur. Il pensait qu'elle ne le supportait que parce qu'il lui était utile pour avoir des infos. Ce qui n'était pas vraiment le cas, mais bon. Un policier de stup! Elle ne pouvait pas trouver mieux... Ou trouver pire! Elle ne savait pas encore si cette rencontre lui vaudrait des problèmes à la pelleté ou des solutions à tout ses problèmes.

-Avec plaisir! Est ce que je peux vous offrir un autre café? lui offrit elle aussi naturellement que si elle le connaissait depuis toujours.

[La je reconnais le Evan Gabriel que je connais!!lol]

Quand il déclina son offre d'un nouveau café, elle eut le pressentiment que s'était plus par question de principe qu'autre chose. Elle venait de découvrir le dernier spécimen de'homme galant au monde. Elle n'aurait jamais cru qu'elle tomberait un jour par hasard sur un tel homme. Espèce protégé!!

Malgré, sa très bonne mémoire Zo n'arrivait pas à mettre un nom sur son visage. Parce qu'elle avait déjà vu ce visage quelques part!! Ou elle n'arrivait pas à se le rappeler, mias c'est ce qu'elle allait savoir.

"Permetter moi de vous en offrir à mon tour. Un autre café?"

Elle tira une chaise et s'assit avec grace et agilité malgré son sac qui était assez encombrant. Elle le posa par terre et sourit quand il lui offrit une autre tasse de café.

-J'en prendrai un autre volontier! Merci!...Je vois que vos parents vous ont bien élever!!

( Hé c'est normal...c'est le même joueur hahaha)

Il la regarda s'assoir en faisant attention de ne pas s'émerveiller. Il vait beaucoup de chance, dernièrement il n'avait rencontré que des belles femmes. Et il y en avait plusieurs qui travaillaient pour lui aussi. Décidément il était bien entouré.

"Sans être cliché, c'est ce qui arrive quand onvient d'une famille aisée depuis plusieurs générations. Je fais aussi ma part dans tout ça, j'aurai pu ne pas écouter mon père."

Il lui sourit avant de faire signe à un serveur de venir à leur table. Il ne savait pas ce qu'elle prenait et ne voulait surtout pas lui imposer quelque chose qu'elle n'apprécierait pas. Il attendit qu'elle fasse sa commande pour qu'elle réengage la converation avec peut-être la réponse à sa question.

En l'entendant parler de sa famille, Zo ne put retenir une grimace. Tant mieux pour lui si ça famille était aisé et avait eu comme priorité de d'élever ses enfants. Dans sa famille se n'était pas la même chose. La priorité avait toujours été de faire tourner l'affaire familiale. La situation était la même en Finlande, mais à l'époque elle était beaucoup trop jeune pour comprendre pourquoi son père s'enfermait avec des hommes en complet trois pièces. Elle était aussi trop jeune pour comprendre pourquoi sa mère était venu la reveiller au beau milieu de la nuit en lui disant qu'elle devait faire ses bagages au plus vite. Elle ne le comprit que beaucoup plus tard vers l'âge de 11 ans. Quand une fois encore elle surprit ses parents en train de se disputer une fois de plus. Semblerait il que son père avait replogé dans ses activités illégales. Raison pour laquelles ils s'étaient tous exilés de leur terre natale.

Sans être cliché, c'est ce qui arrive quand onvient d'une famille aisée depuis plusieurs générations. Je fais aussi ma part dans tout ça, j'aurai pu ne pas écouter mon père."

-Tant mieux pour vous. De mon côté, je viens d'une famille très très modeste et j'ai aussi repris l'affaire familiale, dit-elle aun soupcon de fierté dans la voix.

L'affaire familiale était en fait ce qui était devenu au fil des années un des plus grand réseau de trafic de stup à New-York et s'était maintenant elle la tête pensante de ce réseau affilier à la Mafia. Elle était intelligente et savait comment la buissness marchait. Elle avait ça dans les gènes. Elle avait ça dans la peau, mais maintenant il y avait un tout petit problème, mais elle n'avait aucun doute qu'elle n,aurait aucune difficulté à éloigner son père de SON réseau. Elle avait renoué les liens avec les anciens patron de son père en Fin lande. Elle avait tout fait et il osait maintenant réclamer les honneurs. No way!!

Elle vit le serveur arrivé et lui demanda de lui apporter un simple café noir, très fort. Une fois qu'elle eut son café, elle prit le temps d'en prendre une longue gorgée et d'observer l'homme en face d'elle. Puis un éclair de lucidité la frappa. Elle avait déjà vu son visage...Dans le dossiers que Danyel lui avait montré dernièrement. Donc, le gars devait être aussi peu clean qu'elle dans le fond.

-Je fais dans l'importation, dit-elle en souriant.

Belle, même très belle façon de dire qu'elle faisait entrer une quantité industriel de came dans la ville à l'insu du NYPD. Son commerce très lucratif pourrait être très payant si elle n'avait pas à payer les dettes que son père avait sur le continent scandinave et comme la pègre de son coin de pays n'aimait pas beaucoup qu'on essais de la voler. Donc, quand elle avait chercehr des fournisseurs du côté des anciens patrons de son père elle avait été dans l'obligation de passer un accord avec eux. Ils prenaient 50% des bénéfices jusqu'à ce qu'elle ait payé la dettes de son père plus les intêrets. Une chance qu'ils lui fournissaient du bon stock parce qu'elle aurait refusé. Son père n'avait qu'à payé ses dettes lui même. Elle n'avait pas à payé pour ses conneries.

Puis elle remarqua qu'il l'observait encore pour ensuite la regarder dans les yeux ce qui était rare pour un gars. Ce qui montrait une forte dertermination à ne pas montrer se qu'il pensait d'elle. Elle travaillait dans une boite de nuit. Elle était donc habitué au regard des hommes sur et puis elle savait qu'elle n'avait rien de la femme ordinaire.

-En fait, si ça ne vous dérange pas j'aimerais vous dires un mot dans un endroit plus tranquille?

Elle ne savait pas pourquoi elle lui donnait ce coup de pouce, mais elle le faisait. Ce n'ai pas pour ça que son père disait qu'elle ne pourrait jamais se faire un nom? Son grand coeur!!

"Aucun problème, ouvrez la marche et je vous suis."

Elle se leva donc attrappa son lourd sac et le mitsur ses épaules. Elle le regarda ayer l'addition et lui ouvrir la porte en souriant. Elle lui fit un nsigne de tête très simple comme remerciment et sortit. Rare les gentleman dans se monde!! Dommage! Puis il lui demanda son nom chose normal puisqu'il avait accepter de la suivre!.

-Zo Whilhagzen, monsieurs.

Elle chercha dans sa mémoire pour se rappeler à quel nom était le dossier que Danyel lui avait montré. Blank!! Elle n'arrivait pas à s'en rappeler et elle avait beau se traiter de tous les noms elle n'arrivait pas à s'en souvenir.

Elle resta en silence et l'entraina dans une rue plus tranquille. En tournant au coin de la rue, elle se frappa le front du plat de la main. Son nom venait de la frapper...

-Marsetti, non? demanda-t-elle hésitante, sa mémoire pouvait lui jouer un tour. Kyle Marsetti?!

Zo se laissa entrainer sans résister. Elle comprenait parfaitemetn sa réaction après tout. Elle l'avait pris de court et elle aurait du réfléchir avant de penser tout haut.

-J'ai un ami qui est policier et par hasard je suis tombé sur un de ses dossiers, confia-t-elle à voix basse.

Ce n'était pas tout à fait la vérité. Danyel lui avait montré ce dossier pour la mettre au courant des derniers developpement dans l'enquête sur la Cosa Nostra.

-Votre photo y figurait avec les infos du gouvernement. Info de base quoi. Au début, votre visage me disait quelque chose, mais je n'arrivais pas à me rappeler ou je l'avais vu ni de votre nom. Ça m'a frapper! finit-elle presque honteuse.

Elle savait qu'elle pouvait compter sur Danyel. Ne serai-ce que parce qu'il a des sentiments pour elle.

"Et qu'est-ce que vous me voulez?"

Elle soupira. Dans quel pétrin venait-elle de se fourrer? Elle n'aurait pas du l'aborder comme ça ni lui lancer des infos quand en voir son expression il connaissait déjà. Pfffff....

-Je ne veux rien d'autre que votre biens...Le dossiers disait que vous soupçonnait d'être le chef de la Cosa Nostra, dit-elle pour que seul lui l'entende. C'est à dire mon patron!!

Elle lui tourna le dos et commenca à arpenter la ruelle de long en large. Elle avait un certain controle sur ce qui était mis dans son dossier à elle, mais les autres dossiers elle ne pouvait pas demander à Dan de faire le même chose. Il mettait déjà assez sa carrière en péril comme ça. Et elle n'oserait pas de toute façon lui demander une telle chose.

Il doutait de sa confiance et s'était normale. Elle se doutait qu'il aurait cette réaction. Réaction tout à fait normal, elle lui accordait le droit de douter d'elle, mais quand il l'immobilisa, elle se facha.

-Bordel de m**de!! Allez-vous m'écouter! cria-t-elle pour regretter aussitôt.

Elle enleva ses mains de sur ses épaules d'un geste brusque et recommenca à faire les cent pas sans prêter le moindre regard à Marsetti.

-Il y a deux mois j'ai démasqué un policier inflitré dans mon réseau. Je l'ai démasqué et maintenant il me sers de contact au NYPD. C'est comme ça que j'ai eu les infos. So vous avez le choix de me croire ou d'Aller vous faire foutre.

Elle était méchante tout d'un coup. Elle était dur à mettre en colère pourtant, mais là elle avait ses limites

Les menaces de Marsetti étaient loin de lui faire peur. Elle n'avait pas peur de mourir puisque tout ceux à qui elle tenait vraiment l'avait quitté. Elle ne se gênerait donc pas pour lui dire ce qu'elle pensait. Elle s'en foutait comme de l'an quarante qu'il viennent d'une famille de riches italiens. Elle se faoutait qu'il soit le chef de la Cosa Nostra. Pour l'instant elle devait seulement se concentrer pour ne pas lui mettre son poing au visage.

-Okay! Appelez Catalina comme ça!! Je n'ai pas encore pu la mettre au courant que Dan travaillait pour moi. Mais elle vous confirmera que je dirige le réseau de trafic de stup de la Cosa, dit-elle d'un ton cent fois plus calme que quelque seconde auparavant ce qui n'était pas non plus un bon signe. Et pour ce qui est du reste désolé d'avoiir élevé le ton, monsieur.

Elle s'appuya contre le mur. Elle n'allait pas partir la première il en était hors de question.

Zo n'avait pas à répondre à de telles...sornettes comme il le disait lui même. Et bien qu'elle s'était promis de partir après lui elle tourna les talons et partit. Il avait semé un doute dans son esprit. Son contact à New-York lui avait été donner par la pègre scandinave, C'est à dire son fournisseur, et ces derniers lui avait dit qu'il était à la solde de la Cosa Nostra. Bien sûr, elle ne serait jamais douter que peut-être les scandinaves avaient essayer de la floué.

Brusquement, elle se fit de demi tour et retourna au près de Marsetti. Elle en était maintenant sur et certaine. Elle avait toujours fait confiance à son intuition et elle ne s'était jamais trompé. C'était son père qui lui avait tordu le bras pour qu'elle prenne le nom du contact .

-J'ai peut-être trouver le bobo dans l'histoire...

Les données tournaient à toutes vitesses dans sa tête. Elle essayait d'Analyser la situation. Plus elle y pensait plus elle trouvait qu'elle avait été conne de faire confiance à son père. Il était un escroc après tout et il n'avait toujours pensé qu'à lui au détriment de sa femme et de sa fille.

-Connaissez- vous un certain Alexander Nicholson [Je suis pourri pour inventer des noms!!!]...